Comment investir dans le pétrole en 2020 ?
Une crise sanitaire telle que le COVID-19 génère des doutes socio-économiques et des fluctuations inéluctables sur le cours des actions. Et pourtant, les personnes les plus averties le savent bien : c’est pendant une période instable qu’il est possible de faire les meilleures affaires. Bien sûr, il ne faut pas le dire trop fort. Mal en a pris à la secrétaire d’Etat, Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances sur le plateau de télévision Cnew, qui a indigné certains téléspectateurs loin de se préoccuper à faire des affaires tandis que d’autres souhaitaient garder leurs intentions plus discrètes pour en profiter effectivement au meilleur moment en cette année 2020.
En effet, malgré les apparences comme la chute de production du pétrole faute de déplacements et malgré un prix du baril au plus bas, personne ne s’y est trompé, cette situation était provisoire et comme l’a indiqué la secrétaire d’Etat, les marchés financiers sont bien plus solides qu’en 2008. Alors, pourquoi investir plus que jamais dans le pétrole ? Pour cela, il est utile de comprendre le cours du pétrole, le prix du baril et l’industrie de manière plus générale.
Des marchés financiers solides
La situation imprévisible qui a frappé en 2008 les marchés financiers a su tirer les leçons grâce à des réformes structurelles qui les ont rendus plus solides pour faire face aux nouveaux défis modernes quels qu’ils soient capables de résister aux évènements macro-économiques d’ampleurs tels que le confinement du au Coronavirus. En effet, le G20 et le Conseil de stabilité financière (FSB), le Comité de Bale ont édicté de nouvelles règles de stabilisation prudentielles, dites « Bâle II » transposées en Europe dans un cadre juridique afin de sécuriser les exigences qualitatives de fonds propres. Des coordinations macro-prudentielles assurent une étroite collaboration pour harmoniser les pratiques bancaires et éviter la surenchère du peuchère grâce à un Mécanisme de Surveillance Unique.
De même que la mise en place de chambres de compensation permet de mettre en place un système de contrepartie spécifiques qui se révèlent être très efficace de par leur réactivité.
Au-delà, ces précautions assurent un système de gestion du risque spéculatif en marge du système spéculatif classique via les établissements bancaires. Des cartographies finement étudiées permettent de mesure l’impact évolutif de la moindre secousse micro-économique. Tout ceci afin de parfaire la sécurisation des marchés financiers spéculatifs. Alors que la situation en Chine était déjà connue depuis mi-janvier, les marchés n’ont relaché leur course qu’à partir de la mi-février. Au final cette crise du coronavirus montre bien que tous les indices boursiers gardent leur cap au vert et connaissent même un rebond pendant la crise après un recul légitime en mars 2020. Il est encore temps d’investir dans le pétrole en cette année 2020 !
Le pétrole toujours sollicité
Le cours du pétrole provisoirement au plus bas en mars 2020 comme toutes les autres actions reprend sa route comme tous les gens confinés ravis de reprendre le cours de leur vie.
L’envie de profiter des plaisirs et joies la vie laissent même entrevoir un net rebond en 2021 des titres de manière générale avec le besoin de bouger, changer d’air et savourer les menus plaisirs de satisfaction. Le pétrole reste une matière première indispensable au bon fonctionnement d’une société répondant à l’offre et la demande structurelle. Le confinement a nécessairement fait baisser le cours du pétrole de manière à pouvoir acquérir au meilleur tarif des titres, les produits dérivés (CFD, Futures), les EFT ou trackers sur le prixdubaril.com
De surcroit, l’entente sur les prix de l’or noir a également bénéficié là encore aux meilleurs spéculateurs sachant que la guerre des prix opposant l’Arabie Saoudite à la Russie, est corrélative à l’échec des discussions dans le cadre des négociations de l’OPEP+.
Sachant que malgré tout, il reste très onéreux de cesser de produire du pétrole même en cas de mésentente manifeste alors il vaut mieux produire et stocker d’où l’augmentation des capacités de stockage de l’ordre de 2 millions de baril en pleine mer si nécessaire.
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