Un réseau d’agence de traduction peut être un allié indispensable pour les écrivains

Il existe moult mots dits transparents c’est-à-dire qu’ils n’ont pas besoin d’être traduits d’une langue à l’autre tels que week end, bye etc .. parce que Google permet de traduire instantanément des petites textes, parce que l’apprentissage d’une langue étrangère se fait dès le plus jeune âge, l’interprétation d’une langue semble plus aisée et à portée de tous, il semble de plus en plus aisé d’accéder à une langue étrangère et de la comprendre.Cependant, selon l’auteur scientifique Bernard Werber, « Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre. ». Cette vérité est indéniable alors que deux individus tentent de se comprendre en s’exprimant avec les mêmes mots. Elle prend complètement tout son sens lorsque les individus utilisent des mots qui leurs sont étrangers.
 
Bernard Werber est un grand auteur à succès dont la vingtaine de romans est traduite en de multiples langues afin d’être diffusés de par le monde. Sachant combien il est difficile de communiquer efficacement et simplement, il n’a pas hésité à faire appel à une agence de traduction spécialisée dans les traductions techniques et les traductions assermentées pour reproduire valablement le fond de ses pensées littéraires. Qu’en est il lorsqu’un écrivain tente de se faire connaître par lui-même dans un autre pays que celui de sa langue d’écriture ?

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Comment faire connaître et traduire ses œuvres littéraires ?

L’avantage d’internet a permis de faire connaître nombres d’auteurs qui n’auraient pas passé le barrage d’un éditeur compatissant au regard des frais à engager pour faire connaître un écrivain qui ne serait pas connu de prime abords afin d’en faire la promotion. Pourtant un écrivain peut disposer d’un style littéraire qui plairait complètement hors métropole. L’idée est donc de faire traduire son texte afin de le faire circuler sur internet. Si le livre est retenu par un éditeur étranger, anglais pour l’exemple, il proposera de facto un contrat de traduction.
 
Autrement, lors d’autoédition, il faut entièrement se débrouiller seul c’est-à-dire :

  • contacter en direct un éditeur étranger en ayant préparé un petit dossier support technique de présentation synthétique et de promotion du livre
  • Contacter un agent littéraire en procédant de la même manière que pour l’éditeur
  • Traduire à l’aide d’ une agence de traduction spécialisée dans les traductions techniques et les traductions assermentées
  • Auto-éditer votre livre à l’étranger.

Pour cela tend à se développer des accords entre le traducteur et l’écrivain. Concrètement dans les pays anglo-saxons ou cette formule rencontre succès, l’expert traducteur s’engage à faire de la promotion dans son pays et en échange une commission sur les ventes pourra être versée. En effet, certains traducteurs disposent d’une place importance sur plusieurs sites comme par exemple des firmes qui ont pignon sur rue en France à Bordeaux, en Angleterre à Londres, aux Etats-Unis à Sidney Miami, Medellin en Colombie, Quito en Equateur.

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